S’il fallait une autre preuve que le collectif Anonymous n’est rien d’autre qu’un psyop à la solde du globalisme, la voici.
Le collectif « hacktiviste » Anonymous affirme avoir obtenu 180 gigas de données d’Epik, célèbre service d’hébergement de sites internet, bien connu pour être utilisé par les sites du milieu de la droite américaine comme Gab, Parler, Bitchute, InfoWars (Banned TV), 8Chan, les Proud Boys ou encore le site du Parti Républicain du Texas. En effet, contrairement à des services hébergement plus connus, comme Godaddy (détenu par KKR & Co) ou Google Domains, Epik pratique une politique de respect absolu de la liberté d’expression de ses clients.
Selon les rapports de presse, Anonymous aurait divulgué 180 gigas de données en torrent, représentant environ une décennie de données de l’entreprise.
Le collectif gauchiste affirme avoir voulu divulguer « tout ce qui est nécessaire pour identifier les vrais propriétaires et gestionnaires du fascisme sur internet ».
Pour mieux comprendre l’idéologie gauchiste et mondialiste qui anime les « hacktivistes » d’Anonymous, il faut remarquer que l’attaque contre Epik a été lancée après la promulgation de la loi anti-avortement récemment votée au Texas.
Selon la déclaration ‘officielle’ des Anonymous, divulguée par le journaliste Steven Monacelli :
« Il est temps de découvrir qui dans votre famille gère secrètement un site fétichiste de porno chevalin pro-Ivermectine, qui gère un site de désinformation ou qui fréquente un trou à rat QAnon« .
Clairement, la déclaration d’Anonymous vise pèle-mêle toute la population que les médias globalistes qualifient tantôt de « complotistes », « d’anti-vaxx » ou « d’extrême-droite ». La note parle même de « groupes terroristes » et de « sites nazis ».
Les informations prétendument divulguées sont très exhaustives : achats de domaines, transferts, historique du WHOIS, transferts DNS, historique des paiements, identifiants, etc.
Nous voyons donc ici que les Anonymous font le sale boulot de la Big Tech et des ultra-capitalistes qu’ils prétendent combattre, à savoir censurer les opinions jugées non-conformes dans le système actuel. C’est à croire que ces Anonymous sont littéralement des agents du FBI.
D’ailleurs, les Anonymous en ont profité pour hacker les sites herbergés par Epik. Par exemple, ils ont modifié le site du Parti Républicain Texan en mettant en page d’accueil le slogan : « Le Texas, censurer les femmes pour promouvoir l’érosion théocratique des barrières entre l’Église et l’État« . Le groupuscule a également modifié les liens de la page des donations pour renvoyer les visiteurs vers le site pro-avortement du Planning Familial.
Les hackers se sont permis de faire de même en publiant sur le site d’Epik une parodie de communiqué en réponse au data breach. Ce qui est plutôt ironique étant donné que Epik n’a toujours publié aucun communiqué, trois jours après cet évenement.
Le fondateur d’Epik, Rob Monster, se décrit comme un chrétien libertarien et présente son entreprise comme une moyen de protection de « la liberté d’expression légale ». Epik était déjà sous le feu des médias woke depuis la fin des années 2010, en raison de son hébergement de sites néo-nazis comme Radio Wehrwolf ou Stormfront.
Depuis lors, Epik a banni certains de ces sites pour violation de ses termes de service. Pour autant, Rob Monster s’est toujours déclaré opposé aux idées de ces groupes nazis ou suprématistes blancs.
Pour les médias mainstream en revanche, l’association entre de simples médias de réinformation comme celui d’Alex Jones, ou des sites de patriotes américains comme les Oath Keepers, avec des groupes qualifiés de « suprématistes blancs » est facile.
La Big Tech a censuré massivement tous ces médias alternatifs depuis 2015, certaines plateformes allant même jusqu’à bannir le président américain en exercice Donald Trump. Pendant ce temps, ces mêmes plate-formes n’ont aucun problème à héberger du contenu pornographique ou à permettre aux Talibans d’avoir des comptes.
Il faut aussi avouer que la sécurité d’Epik était remarquablement mauvaise, ce qui est plutôt surprenant pour un hébergeur aussi important, car si l’on en croit le communiqué des Anonymous, les données des utilisateurs d’Epik étaient stockées en texte clair, sans le moindre encryptage sérieux.
180 gigas de données, ça fait quand même BEAUCOUP.
Pour rappel, Epik n’a toujours pas officiellement communiqué par rapport à cette attaque inédite de leurs serveurs. Cependant, plusieurs de ses clients ont indiqué avoir reçu un mail faisant état d’un « prétendu incident de sécurité ».
Certains comptes sur Gab affirment que le hack des anonymous est un énorme bluff ou qu’il n’est pas aussi grave qu’il n’y parait.
Mais d’autres internautes affirment avoir perdu leur confiance en Epik et prévoient de migrer vers des hebergeurs non-soumis aux règles KYC comme Njalla.